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Synopsis de l’Opéra-Bouffe « La Périchole »



Le prologue nous présente le marionnettiste Pantalone (Thibaut T’hézan) grand ordonnateur d’un Carnaval. Il exhibe ses créatures, suspendues à leurs fils:

La Périchole (Emmanuelle Zoldan), Piquillo (Xavier Mauconduit) et le Vice-roi (Sébastien Lemoine).

Il les anime et leur invente un destin. A son gré, tout au long de leur histoire, Pantalone les fera chavirer, choir, rebondir, attaquer, succomber, aimer, souffrir et triompher.


Au premier acte, le peuple fête la gloire de son souverain.

On rit, on boit et danse autour des chars de Carnaval.

Une statue géante à l’effigie du Vice-Roi est l’objet de la fête.

En son honneur, les plus pauvres couvrent leurs têtes de fausses couronnes et portent collerettes et fraises sous leurs mentons.

Au cabaret des trois cousines (Aurélie Fargues, Morgane Bertrand,Margot Fillol) et de leur tante (Jeanne-Marie Lévy), Don Andres de Ribeira, Vice-roi du Pérou, lui aussi déguisé, profite de la liesse populaire pour interroger ses sujets.

Il se croit protégé par l’incognito mais tout le monde l’a reconnu.

Deux chanteurs ambulants, Piquillo et la Périchole profitent du Carnaval pour gagner quelques sous.

Ils s’installent et chantent sur une place, mais sans succès. Épuisée par la faim, Périchole se désespère. Piquillo espérant lui rapporter quelques pièces de monnaie, part seul, pour chanter dans d’autres rues. Il lui demande de l’attendre.


Pantalone dirige le Vice-Roi vers la chanteuse restée seule.

Quand il la rencontre, Don Andres est frappé par un coup de foudre.


La trouvant affamée, il lui promet d’abord un bon dîner. La Périchole accepte. Mais avant de le suivre vers le festin promis, elle écrit une lettre d’adieu à son amant, Piquillo.

Le Gouverneur de la ville Don Pedro (Christophe Crapez) et le premier gentilhomme de la Chambre (Till Fechner) rappellent au Vice-roi que selon le protocole de la Cour, il ne peut choisir comme favorite, qu’une femme mariée. Il ordonne donc à ses deux ministres de trouver le premier venu pour le marier au plus vite à la Périchole.

A son retour, lisant la lettre, Piquillo tente de se donner la mort.

Pantalone choisit de le sauver par l’intervention des deux ministres.

Ils vont le griser d’alcools avant d’improviser sur place une cérémonie de mariage. Piquillo, trop ivre pour savoir qui il épouse, se laisse faire ; mais la Périchole qui la reconnut accepte de bon cœur cette union.

Les deux notaires (Dominique Demons – Frank T’Hézan) les marient donc sans soupçonner leur liaison, et on les conduit, séparément, au palais.



Au deuxième acte, le lendemain, l’arrivée de Périchole, nouvelle favorite du Vice-roi, scandalise toute la cour. Le Vicaire Tarapote (Dominique Desmons) s’en émeut auprès de quatre dames de la cour (Aurélie Fargues, Morgane Bertrand, Margot Fillol, Jeanne-Marie Lévy).

« Une saltimbanque au Palais! »

Piquillo, pour sa part, se réveille affublé d’un titre de « Marquis du Mançanarez » et doit jouer le rôle du mari complaisant. Il doit présenter officiellement sa femme à la cour et au Vice-roi.

Il est l’objet de tous les quolibets. Quand il comprend ce qui s’est passé, Piquillo fou de rage, répudie son épouse et s’en prend au souverain.

Il se fait arrêter comme « mari récalcitrant ».



Au troisième acte, La Périchole vient rendre visite à Piquillo, dans son cachot.

Elle l’assure de son amour et veut l’aider à s’enfuir.

Mais elle est surprise et arrêtée par le Vice-roi, déguisé en geôlier.

Un vielle prisonnière (Jeanne-Marie Lévy), qui lime le mur de son cachot depuis 12 ans, permet aux amants de s’échapper avec la complicité du vrai geôlier (Frank T’Hézan).

Les ministres et leurs patrouilles partent sur les pas des fugitifs.

Sur une place, le Vice-roi les réprimandes pour leur inefficacité, quand les prisonniers se rendent d’eux mêmes. Ils chantent un air pour amadouer Don Andres.

Assurément, cela ne saurait suffire à calmer sa colère.

Mais le grand ordonnateur Pantalone, se moque bien de l’humeur de ses personnages.

Pour terminer son l’histoire, il influe une puissante émotion sur Don Andres, qui subitement troublé par le chant des amants se laisse attendrir et leur accorde sa grâce.

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